vendredi 25 novembre 2016

Barber Shop Quartet opus 3 - théâtre de l'Archipel


Site du théâtre ICI
Jusqu'au 14 janvier 2017
Les jeudi, vendredi et samedi à 21H

Barber Shop Quartet opus 3

De et avec Marie-Cécile Héraud en alternance avec Rachel Pignot, France Turjman, Bruno Buijtenhuijs, et Xavier Vilsek.

Qu’est-ce que veut dire « barber shop quartet » ? ça vient des USA, au début du 20ème siècle, les clients chantonnaient pour patienter, essayez d’en faire autant chez le coiffeur de nos jours !

Quatre chanteurs, une dame peu aimable, une autre plus guillerette, un grand garçon prêt pour toutes les bêtises, et le chef avec sa guitare et son bel accent du bordelais ! 


Nos quatre amis s’approprient cet univers, parodient des chansons connues, sans compter les blagounettes dont est friand le plus jeune.

On a droit à des bruitages, fort bien faits, des « floutages » de paroles crues et la censure devient drôle. Des souvenirs de nos années jeunesse télé et les génériques nous reviennent vite en tête.

Derrière leurs micros, le quartet fait des merveilles, bref on ne se rase pas avec eux !


Anne Delaleu
25 novembre 2016



1 commentaire:

  1. Je suis allée voir le Barber Shop Quartet en suivant les conseils d’Anne, et j’en suis sortie enthousiaste !
    Ce style de musique, né au début du XXème siècle aux Etats-Unis dans les échoppes de barbier repose sur le chant en harmonie à quatre voix et à cappella, le quartet l'a repris et adapté en France.
    Le Barber Shop Quartet, deux hommes deux femmes, en costume rétro et ambiance années 30 nous emporte dans un répertoire éclectique :comédie musicale, tourbillon de chansons, comptines de notre enfance mais détournées, dans des styles aussi différents que la chansons sans importance « Véronique », le hip hop, le chant polyphonique corse ou un Ave Maria magnifiquement interprété par la chanteuse grognon et drôle.
    Une mention spéciale pour le chanteur bruiteur, tout à fait remarquable.
    J’ai beaucoup aimé la scène du supermarché sur la musique intense de « take five » ou celle de « soyons heureux devant la télévision » qui convoque les émissions et les jingles de notre enfance, elles sont désopilantes.
    Les voix sont d’une belle qualité technique, les gags et les bruitages sont hilarants, le rythme est enlevé et on ne s’ennuie pas.
    Quand les artistes viennent saluer sous les applaudissements et les rappels du public ravi, on regrette que le spectacle soit déjà terminé !
    Une belle découverte, et un beau spectacle, tonique et drôle, à partager avec des amis, surtout au moment des fêtes.
    Annie Lozach

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