« Le
Pain de ménage » (1898) suivi de « Le plaisir de rompre » (1987)
Jules
Renard
Le
Pain de ménage (1898)
Deux
couples sont réunis dans un chalet, c’est la fin de soirée, Marthe et Pierre
prennent un dernier verre alors que leurs conjoints respectifs se sont éclipsés,
l’un pour se coucher, l’autre pour veiller sa fille. Ils badinent sur tout et
rien, Marthe pousse Pierre à se dévoiler, à avouer qu’il trompe ou a trompé sa
femme.
Plaisir
de rompre (1897).
Blanche
reçoit pour la dernière fois, son amant Maurice. Elle l’a poussé à un mariage
de convenances, il en est de même pour elle, qui souhaite avant toute chose la
sécurité à l’amour.
Le
texte est léger, beau, quoiqu’un peu daté ce qui ressort d’autant plus car les comédiens
jouent en costumes modernes, et les dialogues ne collent pas à notre époque !
Mais Béatrice Agenin sait jouer de sa féminité et son partenaire Laurent d’Olce
trouve le ton juste d’un amant malheureux.
Il manque pourtant d'un rien, pour que l'émotion soit au rendez-vous, mais ne boudons pas notre plaisir...
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