Je préfère qu’on reste amis.
Laurent Ruquier
Mise en scène : Marie Pascale Osterrieth
Avec Michèle Bernier et Frédéric Diefenthal
Laurent Ruquier a écrit cette pièce pour ces deux comédiens,
deux rôles sur mesure dans lesquels ils se glissent avec bonheur et bonne
humeur.
Vous ne trouverez pas de crustacés à « La crevette rose »,
dont la propriétaire est Claudine dite « clauclau » par son ami Valentin,
c’est une blague de la dite Clauclau, voilà la crevette se vendant par
bouquets, elle est donc fleuriste ! faut suivre !
Depuis cinq ans qu’elle connait Valentin, elle n’a jamais
osé sauter le pas, pour lui avouer ses sentiments. C’est donc toute excitée qu’elle
l’attend, il ne sait rien bien entendu, ne se doute de rien mais cherche toutes
les hypothèses et les plus mauvaises de toutes façons !
Le dîner « romantique »
dans la boutique va révéler bien des surprises à l’amoureuse !
Claudine pour essayer de se faire comprendre pousse la
chansonnette, bien entendu en rapport avec sa « déclaration »,
Valentin ne veut-il rien voir ou ne comprend-il vraiment rien, tout est ouvert
et ça donne lieu à de bonnes scènes de rigolade. Mais qui n’a pas connu en
effet l’affront de la phrase « je préfère qu’on reste amis ».
Les deux comédiens sont sympathiques, le public leur est
acquis. Les répliques sont drôles, à tel point qu’on n’entend plus la réponse de
l’autre couvert par les rires.
Je ne sais pas si c’est une tradition pour le final au
théâtre Antoine, Michèle Bernier et Frédéric Diefenthal poussent la
chansonnette ou improvisent sur la soirée et répondent aux questions du public,
ce n’est pas trop long (heureusement car il fait une chaleur …)
Petite vanne de
Bernier sur l’affaire Nabila « allo quoi, c’est la première fois que je
vois une cellule grise ! » je vous laisse imaginer l’ambiance !
Merci pour le challenge! A bientôt!
RépondreSupprimer