C’est fini de rire, on ferme !
Seul en scène de Popeck
Le rideau s’ouvre, sur l’écran au fond on projette
un extrait de « Rabbi Jacob » et l’on découvre Popeck face à de
Funès, et aussi un extrait de l’émission de Jacques Chancel, François Truffaut parlant
de notre vedette et de l’humour juif.
Enfin, notre héros arrive, chapeau melon vissé sur
la tête, pas pressé, boit un coup, naturellement nous engueule « après
tout quand vous arrivez au bureau, vous ne commencez pas tout de suite » (ce
qui est vrai en ce qui me concerne !)
Et puis, Popeck puise dans ses souvenirs, ses « chers disparus » son père, sa mère déportée, et aussi l’admiration pour Devos, Brassens, dont il détourne sans problèmes les textes ! Ah les blagues de Popeck, l’air de rien, avec son air sérieux, il en balance des vertes et des pas mûres...
Anciens sketchs ou nouveaux, son irrésistible
accent. Ses caleçons molletonnés bien entendu, à côté des strings qui ne
cachent pas grand-chose. Et puis c’est un sportif, voyez comme il pratique le
golf en salle, attention aux têtes...
Enfin le temps passe bien vite et on n’a guère envie de le quitter notre
Popeck !
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