durée 1h30
mardi au vendredi 21h
samedi 16h30 et 21h
dimanche 16h
Mise en scène José Paul
Avec Anne Charrier, Maxime d’Aboville, Patrick Haudecœur, Loïc Legendre, Guilhem Pellegrin, Marie Lanchas, Claude Guyonnet, Gino Lazzerini
Décor Édouard Laug - Costumes Juliette Chanaud - Lumière Laurent Béal - Musique Michel Winogradoff - Assistant mise en scène Guillaume Rubeaud
En août 1961 le mur de Berlin est érigé, “ le mur de la honte” ce sera le début de la guerre froide, et aussi le début des évasions du côté Est pour parvenir à l’Ouest et la liberté !
Mais revenons à notre histoire,
Nous voici dans l’appartement de Madame Hofmann, son fils Werner a bien du mal, il s’occupe de sa vieille maman, et c’est avec soulagement qu’il reçoit Mme Keller, la nouvelle aide-soignante, fort jolie personne, il connait tout sur elle, normal il fait partie de la redoutable Stasi !
Se retrouvant seule dans l’appartement, elle
fait connaissance avec le voisin qui vient tous les jours faire des piqures à
la mémé, guère aimable et suspicieuse quant à la nouvelle venue.
A l’aide d’une lampe torche elle envoie un signal à l’extérieur, quelques minutes plus tard, Ludwig son fiancé arrive, sac à dos, mais au fait pourquoi ? Ils tâtent les murs, d’après elle, l’ancien locataire lui aurait dit qu’une cachette s’y trouvait pour parvenir au tunnel et ainsi atteindre la liberté c’est à dire Berlin Ouest !
Bien entendu, avec Patrick Haudecoeur et Gérald Sibleyras, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, et là ça ne manque pas ! un passage secret, un violoniste espion, un infirmier espion aussi, nos deux tourtereaux, l’officier de la Stasi et sa femme, un général dépressif, le tout bien déjanté et secoué !
Maxime d’Aboville est très convaincant dans le rôle de Werner, il dit des choses affreuses avec un si beau sourire ! Anne Charrier est la femme forte de la situation, quoique Marie Lanchas épouse de Werner n’est pas mal non plus ! On aime retrouver ses amis et c’est toujours un plaisir de revoir Patrick Haudecoeur et son air de Pierrot lunaire, ses partenaires sont tout aussi excellents, dans une mise en scène astucieuse de José Paul.
Alors vous avez deux options, la première vous
n’aimez pas et on vous envoie rigoler en Sibérie, la seconde, vous aimez et
vous riez du début à la fin !
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