Sur scène, une bande de potaches, habillés selon le code
du lycée, le beau gosse et sa copine, le souffre-douleur de service, la petite
grosse. Le texte évolue avec la mentalité des jeunes, et au bout d’un moment on
s’ennuie ferme. Dialogues déjà entendus dans des séries, crus, conventionnels.
Les changements de scène sont ponctués par des airs de punk
rock c’est ce que j’ai trouvé de plus intéressant !
Pourtant rien ne laissait présager la fin violente de la
pièce.
Il a manqué quelque chose à ce spectacle.
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