Le tour du monde en 80
jours (1873)
D’après
Jules Verne (1828-1905)
Mise
en scène Sébastien Azzopardi
Philéas
Fogg, est un gentleman richissime, il est joueur et fait le pari de boucler le
tour du monde en 80 jours. Mais voilà tout n’est pas si simple et il aura
affaire à un policier têtu persuadé que Fogg vient de cambrioler la banque et
cherche à fuir l’Angleterre.
photos Jean-François Delon |
Détournement
de roman célèbre, mais on rit bien c’est le principal, le décor semblable à un
théâtre de marionnettes. On est secoué dans le train (pas bien confortable à l’époque),
on fait du paquebot et même de l’éléphant !
photos Jean-François Delon |
Fogg
est un maniaque de l’heure, c’est important il a un pari à gagner ! En
tout cas il aura conquis le cœur de la jeune Aouda, veuve d’un maharadja, qu’il
a sauvé du bûcher selon les rites. Son fidèle Passepartout (non pas celui de
Fort Boyard…) est débrouillard et ne manque pas non plus d’imagination alors
que Fogg ne laisse pas la place à la fantaisie. Il a tout calculé. Nos compères
doivent déjouer bien des pièges et faire assaut d’ingéniosité. Ce sera aussi
pour eux un parcours initiatique.
photos Jean-François Delon |
Les
comédiens s’en donnent à cœur joie, le fou-rire communicatif. Beaucoup de
rythme, on passe un bon moment, c’est un spectacle pour tous, même si certaines
blagounettes passent par-dessus les boucles blondes et brunes des enfants qui
rient de bon cœur !
photos Jean-François Delon |
En
route donc !
j'en avais eu une adaptation il y a très longtemps, et j'en garde un bon souvenir!
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