Une pièce de Jean Poiret
Mise en scène : Didier Caron
Eh oui, j’ai bien ri en voyant Didier Bourdon en perruque Marylin et robe fourreau lamé rose, fendue jusqu’à la cuisse ! Il est sacrément « baraqué » et très grand. Sur le site du théâtre, vous pouvez voir quelques photos de la production. http://www.portestmartin.com
A l’origine un sketch de Poiret et Serrault sur deux antiquaires homosexuels, débouche sur cette pièce. Le texte n’a rien d’extraordinaire, on ne peut même pas dire que ce sont des bons mots à la Guitry, et puis les temps ont changé… les spectateurs de 1970 n’ont rien à voir avec la génération actuelle, les mœurs ont évolué. Cette pièce est loin d’être homophobe, au contraire.
La situation est totalement loufoque, avec la célèbre et cultissime scène de la biscotte, qui est dans toutes les mémoires ! C’est la rare scène filmée au théâtre avec Jean Poiret et Michel Serrault. A l’époque ils n’ont pas eu l’idée de filmer la pièce…
Christian Clavier et Didier Bourdon reforme un duo, très complices, le texte est remanié pour être actuel avec des répliques du genre « Si tu continues comme ça, on va droit chez Delarue ! », ou bien « avec cette perruque vous ressemblez à Mylène Farmer ! ». Le comédien qui interprète Jacob « le » domestique est extraordinaire, drôle, et beau garçon même en perruque et tutu !
Les robes de Zaza Bourdon sont kitchissimes, mais après tout nous sommes dans un cabaret à St Trop’, même quand il va faire ses courses il a une tenue que n’oserait pas porter votre grand-mère !
Et puis nous avons droit à un final digne des grands cabarets parisiens avec des comédiens qui ne boudent pas leur plaisir et s’amusent comme nous.
Bien entendu standing ovation pour les deux principaux interprètes.
Mise en scène : Didier Caron
- Avec Christian Clavier et Didier Bourdon
Distribution : Philippe Béglia, Daniel-Jean Colloredo, Jean-Marc Coudert, Manoëlle Gaillard, Hélèna Grouchka, Philippe Gruz, Thierry Laurion, Marie-Hélène Lentini, Christian Pereira, Thomas Sagols
Eh oui, j’ai bien ri en voyant Didier Bourdon en perruque Marylin et robe fourreau lamé rose, fendue jusqu’à la cuisse ! Il est sacrément « baraqué » et très grand. Sur le site du théâtre, vous pouvez voir quelques photos de la production. http://www.portestmartin.com
A l’origine un sketch de Poiret et Serrault sur deux antiquaires homosexuels, débouche sur cette pièce. Le texte n’a rien d’extraordinaire, on ne peut même pas dire que ce sont des bons mots à la Guitry, et puis les temps ont changé… les spectateurs de 1970 n’ont rien à voir avec la génération actuelle, les mœurs ont évolué. Cette pièce est loin d’être homophobe, au contraire.
La situation est totalement loufoque, avec la célèbre et cultissime scène de la biscotte, qui est dans toutes les mémoires ! C’est la rare scène filmée au théâtre avec Jean Poiret et Michel Serrault. A l’époque ils n’ont pas eu l’idée de filmer la pièce…
Christian Clavier et Didier Bourdon reforme un duo, très complices, le texte est remanié pour être actuel avec des répliques du genre « Si tu continues comme ça, on va droit chez Delarue ! », ou bien « avec cette perruque vous ressemblez à Mylène Farmer ! ». Le comédien qui interprète Jacob « le » domestique est extraordinaire, drôle, et beau garçon même en perruque et tutu !
Les robes de Zaza Bourdon sont kitchissimes, mais après tout nous sommes dans un cabaret à St Trop’, même quand il va faire ses courses il a une tenue que n’oserait pas porter votre grand-mère !
Et puis nous avons droit à un final digne des grands cabarets parisiens avec des comédiens qui ne boudent pas leur plaisir et s’amusent comme nous.
Bien entendu standing ovation pour les deux principaux interprètes.
je vois que tu bien avancé dans les articles!
RépondreSupprimerj'avais vu cette version dans sa diffusion télé.. bon..ça ne rendait pas de la même façon! Moins drôle toute seule devant ma télé!
Bonne journée!